• Celui qui donne donne de la joie à Dieu

    Paul a beaucoup reçu des Philippiens, très généreux. il sait vivre sobrement, mais il exprime sa joie devant la générosité, qui obtient la grâce de Dieu et son pardon. l’aumône garantit la miséricorde de Dieu

  • Paul se voit contraint d’affronter Pierre, dont l’attitude lui semble ambigüe. Il n’ose pas vivre fraternellement avec les Païens convertis à cause de frères juifs qui veulent imposer leur Loi aux autres

  • La communauté, comme les personnes, vit dans la sainteté et dans le péché. Le péché requiert des actions de protection : se séparer du mauvais levain

  • Les pauvres et les jeunes sont la richesse de l’Eglise

    St Laurent, diacre de Rome, met en pratique l’Evangile de la générosité et du partage. Pour lui, les pauvres sont la richesse de l’Eglise

  • Non au veau d’or, oui au partage !

    Osée s’en prend aux cultes idolâtres perpétrés en Samarie devant des statues de veaux en or. Mais aujourd’hui encore, l’argent n’est-il pas une idole ?

  • Le démon a trouvé son maître

    Face au démon – l’antique serpent – Dieu ne nous laisse pas seuls ! la génération (Jésus) de la femme (Marie) l’enchaînera pour toujours

  • Vous allez recevoir l’Esprit Saint

    Le Christ, élevé dans la Gloire du Ciel, nous prépare une place. Il nous promet son Esprit Saint pour construire la communion entre nous et faire de nous des missionnaires

  • Tout ce qui n’est pas donné est perdu

    La communauté des premiers chrétiens était remarquable par la manière dont ils partageaient leurs biens. chacun donnait selon ses moyens pour que chacun reçoive selon ses besoins. Nul ne considérait que ses biens n’appartenaient qu’à lui.

  • Après la mort de Salomon, rupture entre les groupes de tribus

    Le chapitre 12 du premier livre des Rois raconte la rupture entre le groupe des tribus du Nord et celui du Sud après la mort de Salomon. Il faut le lire. Le résultat est là : il y a maintenant deux royaumes : celui d’Israël au Nord et celui de Juda au Sud.

  • Éli comprit que c’était le Seigneur qui appelait 

    Nous avons ici un beau récit de vocation et de prière. Je note trois leçons pour aujourd’hui. Tout d’abord, celle de reconnaitre que notre Dieu nous parle. Plus intérieur à nous-mêmes que nous-mêmes, disait Saint Augustin, son plus profond désir est d’entrer dans une relation interpersonnelle avec nous, dont le dialogue est la forme, car c’est la forme évidente de l’amitié et de l’amour dans l’existence humaine. La prière est dialogue, parce que la prière est l’expression de l’amour.