Instituts religieux masculins

Fondée à Paris en 1703 par Claude Poullard des Pla-ces, elle a absorbé, en 1848, la Société du Saint-Coeur de Marie qu’avait fondé le vénérable Père François Libermann. Arrivés en Guyane en 1851, les pères spiritains ont assuré en grande partie la mission d’évangélisation jusqu’en 1893, date de l’expulsion du R.P. GUYODO, préfet apostolique. Revenus en Guyane en 1926, ils travaillent depuis lors dans les secteurs de première évangélisation et là où ils sont envoyés.

Les Spiritains ont actuellement trois communautés en Guyane.

Supérieur : Père Jude MOMPOINT

MAISON SPIRITAINE STELLINA
30 cité Grant – 97300 Cayenne

Tel :05.94.28.70.70
E-mail: maisonspiritaine@orange.fr

Ordre fondé au XIIIe siècle par saint François d’Assise. Les Franciscains ont la vocation de servir et de vivre les vertus évangéliques, particulièrement la pauvreté.
Trois dimensions orientent leur vie :
La contemplation – La fraternité – La mission

« Vivre dans l’obéissance, dans la chasteté et sans rien en propre, et suivre l’enseignement et les traces de Notre Seigneur Jésus-Christ. »

Congrégation fondée en 1816 par saint Eugène de Mazenod, évêque de Marseille. Les Oblats de Marie Immaculée répondent aux urgences missionnaires de l’Église, en se consacrant à l’évangélisation du monde des pauvres.

Actuellement, les Oblats ont quatre communautés en Guyane

Responsable principal : Père Gari MOROSE
Maison principale : 21 Avenue Louis Caristan
97354 REMIRE-MONTJOLY –

Tél : 05.94.30.88.09

 

Responsable de la communauté :
Fr. Paul CORNEC

43, rue René Jadfard
97320 Saint-Laurent du Maroni
Tel : 0594.34.40.66 – 06.01.00.53.22
paulcornecfec@gmail.com – fecjadfard@gmail.com

 

 

 

Jean Baptiste de La Salle, notre fondateur, a vécu il y a presque 370 ans.

Prêtre à Reims au nord-est de la métropole, il constate le désarroi des enfants pauvres qui, faute de pouvoir aller à l’école, traînent dans les rues et tombent facilement dans toutes sortes de vices. 

Il pense qu’il faudrait leur donner une formation humaine et chrétienne.

Et pour en sauver le plus grand nombre, le meilleur moyen pour lui, c’est d’ouvrir des écoles.

Il vend tous ses biens et avec quelques hommes volontaires, il forme une petite communauté d’enseignants. Ils s’appelleront Frères : frères entre eux et frères pour les enfants dont ils ont la charge. La congrégation prendra justement le nom de Frères des Écoles Chrétiennes.

Il meurt quatre ans après Louis XIV en laissant derrière lui une centaine de Frères et plusieurs écoles primaires en activité. En 1900, Jean-Baptiste de la Salle est proclamé saint. Cinquante ans plus tard, il est déclaré patron de tous les éducateurs.

Aujourd’hui, les Frères sont à peu près 4000, répartis dans 80 pays.

Ils partagent leur charisme – le service éducatif des pauvres – avec environ cent mille collaborateurs laïcs qu’on appelle lasalliens : mission d’éducation humaine et chrétienne auprès des enfants et des jeunes de la maternelle aux universités, environ 1 200 000 élèves sur les 5 continents. 

À Saint-Laurent du Maroni, nous sommes seulement deux frères, bientôt trois et une douzaine de lasalliens. Sans compter son implication dans la vie paroissiale, la mission de la communauté se décline principalement dans deux domaines

D’abord une école primaire, que nous avons créée Il y a dix ans, dans le quartier des Sables-Blancs, volontairement pour les familles défavorisées et dont le fonctionnement est assuré en grande partie par notre congrégation. 7 classes, 175 élèves, 12enseignant(e)s ou éducateurs laïcs lasalliens 

 

 

Ensuite nous sommes investis auprès des migrants par le biais de l’alphabétisation et de l’écoute des personnes en précarité, avec le Secours Catholique. Environ 120 personnes viennent régulièrement suivre des cours pour adultes ou recevoir une aide ponctuelle. Une vingtaine de bénévoles assurent les formations et l’accueil

 

 

C’est vrai que, dans notre congrégation, comme partout dans l’Église, nous vivons la diminution des vocations. 

Mais comme le dit notre Supérieur, plutôt que de nous concentrer sur les signes de diminution, regardons plutôt les signes d’abondance : et comment la diminution des vocations a donné naissance dans l’Église, à d’autres formes de vocations de laïcs au service des enfants, des jeunes et des adultes pauvres et abandonnés.

Qu’à la prière de Saint-Jean-Baptiste de La Salle, nous soit donnés des éducateurs, hommes et femmes, désireux et capables d’inventer, d’innover, d’enseigner, et finalement d’annoncer Jésus Christ, très peu par des discours, mais beaucoup par une présence rayonnante.

Cette communauté est née du veuvage. Soucieux de s’investir au service de l’Eglise, dans une fidélité au OUI sacramentel, leur capital d’amour devenu disponible par la disparition de leur épouse, des veufs se sont regroupés en
communauté de type monastique, s’appuyant sur la règle de saint Benoit, adaptée à leur spécificité. en dehors du veuvage, la Fraternité reste ouverte à des hommes séparés ou divorcés : une promesse renouvelable chaque année en fait des Familiers Réguliers.
Des célibataires attirés par sa spiritualité peuvent également y être admis.
La vie quotidienne des fraternités s’articule autour de l’Office Divin chanté au chœur sept fois le jour, culmine avec la célébration eucharistique; se nourrit de la Lectio Divina, de la méditation du Rosaire et de deux adorations quotidiennes du Très Saint Sacrement. Cela constitue « la colonne vertébrale » de chaque Fraternité, quelle que soit, par ailleurs, son activité principale.

LES FRERES DE LA RESURRECTION
SAINT LAURENT DU MARONI
contact : père CROSSON Michel
25 route des chutes Voltaires – 97320 Saint Laurent du Maroni
Tél. : 05.94.34.33.57